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2019-06-17 - le pé panoramique
- le regard monté sur une rotule…
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- (références)
- Michael Snow, Région Centrale, 1971.
- “Désubjectiviser le paysage: La Région Centrale de Michael Snow” par Luca Acquarelli, Colloque Les Temps Suspendus
- Extrait 1
- Extrait 2 (dernière section)
- Interview
- La Région centrale dure un peu plus de trois heures, alors que son sujet est on ne peut plus minimal : un paysage, plutôt aride, un désert en fait, toujours filmé depuis le même endroit, " central “. On y voit surtout de la rocaille, des petits cailloux mais aussi de gros rochers, quelques brins d’herbe et, au loin, des montagnes et un lac. Le tout dans des dégradés très subtils de brun, de vert éteint et de gris, contrebalancés par le bleu du ciel et l’éclat du soleil. Et c’est tout ? Oui c’est tout. Unité de lieu, unité d’action et unité de temps : le film commence un jour et s’achève aux aurores du lendemain. (Stefani De Loppinot, La Région Centrale de Michael Snow, 2010)
- Région Centrale est filmé par une caméra capable de bouger dans toutes les directions, dont tourner, rouler et tournoyer — dans un paysage qui défie les lois de la gravité. Pour parvenir à cet effet dans la nature, Snow conçoit une caméra-machine télécommandée, dont il confie la réalisation à l’ingénieur Pierre Abeloos. La caméra et l’équipe sont déposées par hélicoptère sur la surface de la planète Terre. Snow tourne cinq heures de séquences couleurs brutes dont il tire un film monté de trois heures pour distribution dans les cinémas. (Source : https://www.aci-iac.ca/fr/livres-dart/michael-snow/oeuvres-phares/la-region-centrale/)
- https://www.aci-iac.ca/wp-content/uploads/2020/10/Institut-de-lart-canadien_Michael-Snow.pdf