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2022-09-24 - RAD.2 - opération de recherche radiesthésique
Après le calvaire précédent, Peter Junof repart à l’aventure sur le terrain du P et se met à observer les arrangements de pierres afin de discerner justement les sources.
Il tombe sur l’endroit où les pierres ont gardé leur disposition au sol suite à la performance filmée d’Antonin Verhulst lors de la session #4 des WAou en mars 2021 (voir aussi [1]) : il reprend le procédé utilisé en 2019 par Moroju Ajee & Joe Jemory lors de leurs travaux sur Les Pierres de Sirius Man…
Et ainsi apparaissent la petite lumière et la fine couleur bleue… Ne sont-elles pas, many buc, mini buc, petits éléments pébipologiques ? ne sont-elles pas cet instrument de lecture et de vision nous aidant à percevoir l’envers du décor ?
Et si le projet urbain pouvait comprendre qu’ici loge un lac, un lac ancien et antique, dont quelques fragments stratifiés ressortent du sol, et que lors des plus froides saisons, ce lac couvre le terrain… et que finalement, bien plus tard, ce sera une forêt primaire qui couvrira toute cette zone…
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in Robert Tocquet, Les pouvoirs secrets de l’homme. Le bilan du paranormal, 1963.
Allégorie du dragon barbu ou amphibolorus barbatus.
Séance de lévitation d’une table, Eusapia Palladino (fin du XIXe).
En Italie, en France, en Allemagne, en Pologne et en Russie, Eusapia Palladino semble démontrer d’extraordinaires pouvoirs dans le noir : elle lévite, se projète dans l’espace et dans le temps. Elle matérialise des fleurs et rappelait des souvenirs de morts : empreintes de mains et de visages dans l’argile humide. Elle fait léviter des tables et fait jouer des instruments de musique sous les tables sans les toucher. (Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Eusapia_Palladino )
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