« Parlons chinois un peu. Je sais que tu t’intéresses comme moi au “feng shui”, la pratique “du vent et de l’eau”, c’est-à-dire ce respect, cette connaissance intime du paysage qui fait que, pour bâtir une maison, par exemple, on inspecte d’abord le terrain, et jamais on ne l’aplanit ‒ l’aplanir, ce serait le rendre mortifère. Au contraire, on respecte les creux, les bosses, les cours d’eau… » ‒ (Kenneth White, “Le Nouveau Paysage”, entretien avec Michel Moy, Revue Incisions (1981), in “Le poète cosmographe, vers un nouvel espace culturel : entretiens, 1976-1986, recueillis et préfacés par Michèle Duclos, Presses Universitaires de Bordeaux, 1987, p.