. . L’été donc, 93 jours consécutifs sur quatre mois d’états météorologiques ‒ mi-fin-juin-juillet-août-se-finit-en-septembre 2023 ‒ formant l’occasion d’un voyage supplémentaire aussi infini et spiralant que tous ceux antécédents qu’on avait vus transformer par leurs courses précédentes le site du P en panorama d’un Colorado-Mojave de pacotille ou d’une lunaire Mancha de remplacement. Été, estate, æstatem, à l’air brûlant ; période pensée comme un “pic”,

chronologie du poème : précédent : poème de couverture(s) (2) précédent encore : poème de couverture(s) (1) . . 3 Poème qu’on illustre de quelques reproductions, que ce soit d’œuvres de peintures, de gravures ou de photogrammes de films, afin d’avoir dans l’œil ce qui transpire d’images mentales et de songes suscités par les perceptions et des émotions sur le terrain, perceptions et visions optiques qu’on réanime en différé, et que Spinola, de tête, a insufflé dans le “poème de couverture(s)" :