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2023-07-03 - prolégomènes III-d au ouesterne : zapper kafka à kaffa (longtemps marcel 2)
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Études pébipologiques.
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chronologie des prolégomènes :
- I - franz kafka spinoza
- I-bis - franz scalpa spinoza
- II - frank zappa spinola
- III-a - zapper kafka à kaffa
- III-b - zapper kafka à kaffa (marcel)
- III-c - zapper kafka à kaffa (longtemps marcel 1)
- III-d - zapper kafka à kaffa (longtemps marcel 1)
- III-e - zapper kafka à kaffa (horace)
- III-f - zapper kafka à kaffa (roman-photo)
- III-g - zapper kafka à kaffa (commentaires)
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Un menu :
- Suite 2 de la randonnée “Longtemps”
- La plupart du temps, j’écris de bonne humeur
- TABLEAU D’EXTRAITS
- Jean Santeuil (1895-1904)
- Les Soixante-quinze feuillets (fin 1907/automne 1908) — Contre Sainte-Beuve (1908-1910)
- Cahier 3 (nov./déc. 1908)
- Cahier 5 (hiver 1908/1909)
- Cahier 8 (été 1909)
- Cahier 9 (été 1909) — Début de La Recherche (1910)
- Dactylographie (été 1911)
- sources
- notes
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Suite 2 de la randonnée “Longtemps”
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La plupart du temps, j’écris de bonne humeur
Car, « Longtemps, je me suis couché de bonne heure », cette phrase obsessive, ouvrant La Recherche, Proust mis trois ans à l’écrire, après qu’il eut compris que tout Combray était sorti d’une tasse de thé et qu’il se prît à s’attacher à ses rêves et songes ramenant ses parents disparus (« Maman retrouvée en voyage […] » dans le Carnet 1, fo. 5v)
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— de son côté Spinoza, de Nantes à Amsterdam, et après avoir montré la pensée telle une lentille optique dont les visions et les perceptions libèrent, mit près de quatre siècles pour entreprendre la construction minutieuse d’un télescope/microscope au P, le fameux miroir noir [1] :
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à gauche : “L’homme au miroir noir”, Attribué à Thomas Gainsborough, British Museum. (Source)
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TABLEAU D’EXTRAITS
(Source Gallica pour les Dactylographies, les Cahiers et Brouillons)
L’ensemble des documents conservés à la Bibliothèque nationale de France, à Paris, rue de Richelieu, comprend essentiellement 75 Cahiers de brouillon et 20 Cahiers d’un manuscrit pour la partie du roman qui va de Sodome et Gomorrhe au Temps retrouvé.
Mais la classification officielle est largement erronée, car elle confond brouillons et manuscrits.
Les dactylographies sont conservées aussi, avec des « reliquats » encore, qui sont indispensables pour étudier la genèse de l’œuvre, et ses transformations successives. Mais cette fois, il s’agit vraiment de pages qui n’ont pas été retenues pour former la copie. Deux autres remarques sont à faire, concernant les dactylographies. Tout d’abord, elles font rentrer le roman en chantier dans le domaine du publiable et du social, et elles forment ainsi un frappant contraste avec les cahiers de brouillon et même de manuscrit, qui sont très morcelés, discontinus.
Marcel Proust cependant corrigeait abondamment ses dactylographies, comme s’il s’agissait de brouillons encore. L’œuvre est toujours inachevée, ou plutôt en perpétuel devenir, quel que soit le degré atteint par son élaboration : il n’y a pas de fin prévisible au travail de l’écrivain.
— Source : Institut des Textes et Manuscrits Modernes
- « Est-ce que vous avez toujours envie de rivaliser avec Œdipe et de déchiffrer les énigmes sphyngétiques de mon écriture. Si oui, je peux vous envoyer des cahiers qui dépassent en obscurité tout ce que vous avez jamais vu. »
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— (Lettre de Marcel Proust à Alfred Nahmias, 13 mai 1912)
L’étude des Cahiers 3, 5 et 1 permet de retracer la genèse de l’ouverture de « Combray », de la fin 1908 à 1909, au moment où Proust travaille au projet du “Contre Sainte-Beuve”. À la scène du coucher, au début du roman, « Longtemps je me suis couché de bonne heure », répond, à la fin du roman, la matinée du Temps retrouvé, « cette matinée […] qui m’avait donné […] l’idée de mon œuvre ». Combray commence par des nuits dont il est dit : « Le branle était donné à la mémoire », Le Temps retrouvé se conclut par la « Matinée de l’œuvre à faire ».
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Jean Santeuil (1895-1904)
- « Par ces beaux jours, quand Jean se réveillait – c’était toujours un peu tard, parce qu’il aimait bien dormir et que sa mère, heureuse de cela, le laissait dormir […] »
— (Marcel Proust, Jean Santeuil (1895-1900), Éd. Gallimard, collection NRF, 1952)
— Marcel Proust, âgé de 24 ans, écrit “Jean Santeuil”, un immense essai romanesque, de près de mille pages, sans fin, sans intrigue, sans même de composition. Il semble que Proust ait lui-même sous-estimé le temps nécessaire pour achever cette œuvre et qu’il se soit laissé embarquer dans une œuvre qui l’aura dépassé.
“Jean Santeuil” raconte l’histoire d’un jeune homme, Jean Santeuil, épris de littérature et de poésie, son enfance et son entrée dans le monde. Il évolue aussi bien dans le Paris mondain de la fin du XIXe siècle que dans différents lieux en Province, tels que Illiers (qui deviendra Combray dans La Recherche), le château de Réveillon dans la Marne ou la Bretagne à Beg Meil. En réalité, Jean Santeuil commence par un jeu de miroirs. Dans la Préface rédigée par Proust, le narrateur est un ami, séjournant dans une petite station bretonne, rencontrant l’écrivain C. Celui-ci, retranché dans une ferme d’hôte, passe ses journées à écrire dans un phare isolé. Or le narrateur et son ami tissent des liens intellectuels avec celui-ci et tous les soirs, C. leur lit ce qu’il a écrit dans la journée. C’est le manuscrit de C. qui est donné au lecteur comme étant le livre qu’ils ont entre les mains et retraçant la vie de Jean Santeuil.
— Source : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b53069102f/f1.image.r=NAF%2016615.langFR
— Source : https://books.openedition.org/editionscnrs/42142?lang=fr (Almuth Grésillon, Proust ou l’écriture vagabonde. À propos de la genèse de la « matinée » dans La Prisonnière)
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Les Soixante-quinze feuillets (fin 1907 - automne 1908)
Le début des premiers feuillets retrouvés de Marcel Proust à propos de La Recherche n’est pas le célèbre : “Longtemps, je me suis couché de bonne heure”, mais une phrase de 40 mots, caractéristique du style du romancier, sur l’arrivée de la pluie.
- « On avait rentré mes précieux fauteuils d’osier sous la vérandah car il commençait à tomber quelques gouttes de pluie et mes parents après avoir lutté une seconde sur les chaises de fer étaient revenus s’asseoir à l’abri. »
— (Marcel Proust, les soixante-quinze feuillets, écrits entre la fin 1907 et l’automne 1908, fo. 1. Une Saison à la campagne = Combray I et Combray II)
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C’est pourtant quelques pages plus loin (dans le folio fo. 6) que Proust aborde le fameux “moment du coucher” :
- « Puis on apporta les lampes. Tous les soirs leur vue, le bruit des rideaux qu’on fermait aussitôt après me serraient le cœur. Car je sentais que dans quelques heures viendrait l’affreux moment où il fallait dire bonsoir à Maman, sentir la vie m’abandonner au moment où je la quittais pour monter dans ma chambre, et ensuite souffrir ce qu’on ne saura jamais, dans ma chambre, d’où j’entendais le bruit d’en bas, jusqu’au moment où je parvenais à m’endormir. Quand j’y parvenais. »
— (Marcel Proust, les soixante-quinze feuillets, écrits entre la fin 1907 et l’automne 1908, fo. 6. Une Saison à la campagne)
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Et encore plus loin :
- « Je montai, j’entrai dans ma chambre, je construisis moi-même ma prison en fermant mes volets et mes fenêtres qui donnaient sur le jardin où on viendrait peut-être prendre le café tout à l’heure s’il faisait beau, en défaisant ma couverture, en ouvrant ce lit qui était la prison dans la prison, celle où j’avais juste la place de remuer mon corps. Je me tins immobile dans le lit le cœur battant. »
— (Marcel Proust, les soixante-quinze feuillets, écrits entre la fin 1907 et l’automne 1908, fo. 12. Une Saison à la campagne)
— Source : https://www.coupefileart.com/post/le-mus%C3%A9e-dans-la-gen%C3%A8se-les-soixante-quinze-feuillets-de-proust
— Source : https://proustonomics.com/entretien-avec-jean-marc-quaranta/
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Et avant de trouver la fameuse formule narrative qui lui permettra d’organiser la matière qu’il a accumulée depuis Jean Santeuil et les « Soixante-quinze feuillets » de 1908, il y eut cet incipit :
- « Pendant bien longtemps je ne connus Villebon que par ces mots : “la route de Villebon, du côté de Villebon” »
(Marcel Proust, les soixante-quinze feuillets, écrits entre la fin 1907 et l’automne 1908, nouvelle version, fo 31. Le Côté de Villebon et le Côté de Méséglise)
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Si nous prolongeons cette question et cette considération des “côtés” chez Proust, c’est qu’elles proviennent d’une vision des lieux qui fonctionne sur le dédoublement (comme on l’aura remarqué pour La Pébipologie) : à la fois par superposition et par confusion ou enivrement des images mentales, et par la nécessité de prendre des décisions (prend-on à gauche ou à droite ? par quel côté ? Lequel est le plus rapide ? Lequel est le plus aventureux ?).
Par exemple, “Balbec”, comparé à Venise, Parme ou Florence, dans La Recherche joue de la superposition du présent à l’antique ( — comme si Spinoza en toge ou en cow-boy voyait le P comme une pente d’un des bords du cratère de l’Etna ou du Vésuve —) :
Balbec confond et fantasme en un même terme “Bolbec” en Seine Inférieure dans le Pays de Caux et “Baalbeck” (autrement nommé par les Grecs, Heliopolis), cité du dieu phénicien Baal et à la fois Cité du soleil, au Liban.
Proust le reconnaît : « le côté de Méséglise et le côté de [Guermantes] n’étaient pas aussi inconciliables » (Cahier 4, fo. 42 ; Tome 4, La Prisonnière, chapitre IV, p.269 ; à la fin du Tome 6, Albertine Disparue, chap.IV) alors qu’il remarque par ailleurs que pour s’y rendre et pour commencer l’une ou l’autre promenade il lui faut emprunter deux portes opposées (« par derrière »* pour Villebon, et *« du vestibule »* pour Bonneval/Méséglise) ;*
*et après avoir demandé la direction à un paysan lors d’une promenade durant laquelle il s’était égaré et avoir écouté les recommandations, il comprend que *« ç’a été comme s’il m’avait dit, continuez tout droit [,] la première à gauche et vous avez à main droite votre passé, votre jeunesse ; vous allez toucher l’intangible, vous allez atteindre aux inaccessibles lointains dont on ne connaît jamais sur terre que la direction, que “le côté” »* (Cahier 12, fo. 17), dont, ajoute-t-il à un autre endroit, *« je n’avais jamais connu que les noms qui ne semblaient ne devoir se trouver que sur une carte du Rêve »* (Cahier 1, fo. 58) (d’Auteuil / Bonneval / Méséglise, du côté maternel, et d’Illiers / Villebon / Garmantes / Guermantes, du côté paternel, avec au milieu “Combray”).*
*Pour notre part (et on le verra dans Audito), la traversée de la forêt juste avant d’arriver à la Guerbillère avant la route bien-nommée “Laissez Dire”, et le verger de Sartrouville identifié à un parc, etc. Entre les “côtés” et dans chacun d’eux, il y a des étendues, avec peut-être d’un côté, les aubépines, et de l’autre, des pommiers ; d’un côté, des réminiscences, et de l’autre, des *« impressions obscures »*, c’est-à-dire *« non une sensation d’autrefois mais une vérité nouvelle »* (in “Le Temps Retrouvé”, IV, p.456).*
— Source : https://essentiels.bnf.fr/fr/article/a32c41d9-2363-4fa7-bfca-0bf1d17c59d9-espace-chez-proust
— Source : http://www.mgm.fr/ARECLUS/page_auteurs/Gay14.html
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Cahier 3 (nov./déc. 1908)
- « Autrefois, j’avais connu comme tout le monde la douceur de m’éveiller au milieu de la nuit »
(Marcel Proust, Cahier 3 (nov./déc. 1908), f° 18)
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- « Depuis longtemps je ne dormais plus que le jour »
(Marcel Proust, Cahier 3 (nov./déc. 1908), f° 11 r°)
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- « [Depuis longtemps je ne dormais plus que le jour, mais cette nuit- là j’eus pourtant] [Je m’éveillai après quelques minutes de sommeil seulement (depuis longtemps je ne dormais plus que le jour), mais surpris par] Je m’éveillai au milieu de la nuit après quelques minutes de sommeil (depuis longtemps je ne dormais plus que le jour) »
(Marcel Proust, Cahier 3 (nov./déc. 1908), f° 12 r°)
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- « Autrefois, j’avais connu comme tout le monde la douceur de m’éveiller au milieu de la nuit »
(Marcel Proust, Cahier 3 (nov./déc. 1908), f° 18 r°)
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- « Aussi quand je pris plus tard l’habitude de rester levé toute la nuit et de rester couché toute la journée, […] Qu’importait que je fusse couché, les rideaux fermés ! »
(Marcel Proust, Cahier 4, f° 3v°. Contre Sainte-Beuve, chap.3, Journées, Folio, Gallimard, p.67)
- « Parfois, j’allais jusqu’à la fenêtre, je soulevais un coin du rideau ; […] »
(Marcel Proust, Cahier 3 (nov./déc. 1908), f° 1-2 r°)
— Source : Almuth Grésillon, “Proust ou l’écriture vagabonde. À propos de la genèse de la « matinée » dans La Prisonnière”, 2000
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Cahier 5 (hiver 1908/1909)
- « Jusqu’à l’âge de vingt ans je dormais toute la nuit avec de courts réveils »
(Marcel Proust, Cahier 5 (hiver 1908/1909), f° 18)
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- « [À cette époque, j’avais déjà pris l’habitude de dormir le jour]. [À cette époque j’étais déjà malade et ne pouvais plus me coucher et dormir que le jour. Mais je pouvais me souvenir comme d’un temps très rapproché, il est bien lointain aujourd’hui, où je me réveillais au milieu de la nuit, ce n’était pas pour bien longtemps et seulement pour prendre conscience un instant]. »
(Marcel Proust, Cahier 5 (hiver 1908/1909))
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- « À cette époque j’étais déjà malade et ne pouvais plus être couché et dormir que le jour. Mais [je me souvenais comme d’un temps assez voisin et que j’avais alors l’illusion de voir revenir] le temps n’était pas [bien] lointain encore — et je nourrissais l’illusion de le voir bientôt revenir — où ne faisant qu’un avec mon lit et ma chambre je dormais toute la nuit de conserve avec eux. »
(Marcel Proust, Cahier 5 (hiver 1908/1909), f° 114 v°)
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- « [Quand j’étais jeune] jusque vers l’âge de vingt ans, je dormis la nuit »
(Marcel Proust, Cahier 5 (hiver 1908/1909), f° 113 v°)
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- « Jusque v.ers l’âge de vingt ans je [dormis] dormais toute la nuit avec de courts réveils. »
(Marcel Proust, Cahier 5 (hiver 1908/1909))
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Cahier 8 (été 1909)
- « Au temps de cette matinée dont je [veux] voudrais fixer [je ne sais pourquoi] le souvenir, j’étais déjà malade, j’étais obligé de [passer] [rester debout] passer toute la nuit [debout] levé et n’étais couché que le jour. Mais alors le temps n’était pas [encore] très lointain, et j’espérais encore qu’il reviendrait, où j’entrais dans mon lit à dix heures du soir et avec quelques réveils plus ou moins longs dormais jusqu’au [lendemain] matin. Parfois, à peine ma lampe éteinte, je m’endormais si vite que je n’avais pas le temps de me dire « Je m’endors ». Et une demie-heure après… »
(Marcel Proust, Cahiers 8 (été 1909), f° 1 r°)
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Cahier 9 (été 1909)
- « [Au temps] À l’époque de cette matinée dont je voudrais fixer le souvenir, j’étais déjà malade, j’étais obligé de passer toute la nuit [debout] levé, et n’étais couché que le jour. Mais alors le temps n’était pas très lointain et j’espérais encore qu’il pourrait revenir, où [j’entrais dans mon lit à dix heures du soir] je me couchais tous les soirs de bonne heure et, avec quelques réveils plus ou moins longs, dormais jusqu’au [lendemain] matin. Parfois, à peine ma [lampe] bougie éteinte, [je m’endormais si vite] mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors ». Et, une demie heure après, … »
(Marcel Proust, Cahiers 9 (été 1909), f° 1 r°)
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Dactylographie (été 1911)
- « Pendant les derniers mois que je passais dans la banlieue de Paris avant d’aller vivre à l’étranger, le médecin me fit mener une vie de repos. Le soir, je me couchais de bonne heure »
(Marcel Proust, Dactylographie (été 1911), NAF 16733, (à partir du Cahier 9))
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notes :
[1] — https://www.lecompendium.com/dossier_optique_128_miroir_de_lorrain/miroir_de_lorrain.htm
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- Sommaire de Pébipologie et ouesterne :
- Le début de ouestern spinoza (et les 9 pages suivantes)
- partie de récit 1
- partie de récit 2
- Utile randonnée ? partie 1
- Utile randonnée ? partie 2
- Les conditions du ouesterne
- Hombre no ! Hombre que si !, partie 1
- Hombre no ! Hombre que si !, partie 2
- Pébipologie et ouesterne, la récap
- Dans la sierra
- Impression du ouesterne spinoza
- prolégomènes 1 au ouesterne : Franz Kafka Spinoza
- prolégomènes 1bis au ouesterne : Franz Kafka Spinoza
- prolégomènes 2 au ouesterne : Frank Zappa Spinola
- prolégomènes 3a au ouesterne : zapper Kafka à Kaffa
- prolégomènes 3b au ouesterne : zapper Kafka à Kaffa (marcel)
- prolégomènes 3c au ouesterne : zapper Kafka à Kaffa (longtemps marcel 1)
- prolégomènes 3d au ouesterne : zapper Kafka à Kaffa (longtemps marcel 2)
- prolégomènes 3e au ouesterne : zapper Kafka à Kaffa (horace)
- prolégomènes 3f au ouesterne : zapper Kafka à Kaffa (roman-photo)
- prolégomènes 3g au ouesterne : zapper Kafka à Kaffa (commentaires)
- pébipologie
- éditions
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