Fin 2011, en rangeant la salle commune du 89, Tavara Fuente Jorp & Peter Junof tombent sur deux images manipulées qui leur ressemblent comme deux gouttes d’eau. Le duo se met à la recherche de leur auteur.e sans pouvoir le ou la trouver. Plusieurs hypothèses sont creusées et évoquées sans succès. Décidant qu’alors ces deux images sont leurs autoportraits Tavara et Peter les dénomment Christopher et Paulette.

Christopher et Paulette se mettent par la suite à démultiplier d’autres personnages à l’aide de coups de ciseaux, de scotch et de colle en spray. Une véritable galerie surréaliste.

Quels tableaux ! expressifs, saisissants, chargés de sens peut-être, et sans doute même indécents.

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Tavara et Peter (Christopher et Paulette), leurs autoportraits avec le MIP.

Tavara et Peter (Christopher et Paulette), auto-portraits.

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• En annexe :

  • l’histoire de Christophe Blake Paulette entre Woodville et Onalaska…

  • l’histoire judiciaire

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